Le nectar de mes larmes
S’écrase dans l’amertume de mon café
Mêle son nuage de lait frémissant
A mes pensées acides
A mes démarches nébuleuses
En flaques légères
En nuées libertairesA ma fenêtre, un écumeux chaos
L’écho de mes tâtonnements
Je reste muette devant tant de peut-être