9 mars 2008
Virulence
Ton regard profondément dense
Et fumé d’une généreuse braise
Qui jamais ne pâlit
Parsème,
Dans les lueurs d’une lune
Enrubannée de connivence
Des halos intrépides
Mêlant ardent désir
Et tendres exaltations,
Sur les lignes onduleuses
De ma peau ruisselante
Qui bénit son sort
D'être l'heureux dessein
De cette élégante convoitise.
Tes souffles luxuriants
Sur moi se resserrent
Entortillant mon âme
D’une exubérante ivresse
Mes larmes perlant,
Farouches et enflammées,
Sur le satin poli
De tes lèvres assoiffées.
Ah comme j’aime en toi l’animal !
Comme j’anime en toi le mâle ...
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